Amarrage en solo? Avec MYOR, c’est très facile. Vous n’y croyez pas? Vous pouvez l’essayer gratuitement.

Myor, le vidéo du système d’amarrage pensé pour les navigateurs solitaires

L’amarrage est l’une des opérations les plus difficiles pour ceux qui se rapprochent du monde de la plaisance, surtout si le plaisancier est en compagnie d’un équipage inexpérimenté. Le risque de faire des erreurs et devenir le protagoniste d’un vidéo comique, comme l’un de ceux que nous avons proposés dans notre édition anglaise, n’est jamais bien loin.

C’est pourquoi Myor a créé un système pour amarrer et désamarrer de façon tout à fait indépendante. Avec cet instrument, vous n’aurez pas besoin de l’assistance de l’équipage ni sur le ponton ni à bord, ni pour l’amarrage ni pour le désamarrage.

MYOR se compose de deux éléments: un flotteur, qui se connecte au ponton en soutenant deux crochets métalliques, et un arc, avec lequel le cordage peut se connecter aux crochets du flotteur pour accrocher le bateau au ponton. La couleur jaune vif du système le rend facilement visible dans l’eau.

L’un des principaux avantages du système est qu’on peut l’utiliser même dans les conditions climatiques les plus difficiles, y compris vent et courant latéraux.

Mais comment MYOR fonctionne-t-il? Le vidéo suivant montre clairement la simplicité des opérations à entreprendre au cas d’un amarrage, poupe à quai, à un corps mort, ce qui est la situation la plus fréquente.

Myor doit être installé sur le ponton à l’aide d’une chaîne et de deux criquets; cette opération ne doit être réalisée qu’une seule fois, parce  que le flotteur est dessiné pour rester dans l’eau. À l’arrière, on doit installer le support de l’arc qui a la fonction de le maintenir en position tandis que les manœuvres sont réalisées. Les modalités d’application du support dépendent de la poupe de votre bateau; si elle est équipée d’une plateforme d’embarquement, on peut utiliser un piton à l’œil et deux vis; diversement, il suffit du scotch. Aucune des opérations à bord n’est irréversible ou invasif et le bateau ne risque aucun type de dégat.

Avant de commencer la manœuvre d’amarrage, on doit tout simplement installer l’arc sur son support et connecter le cordage aux deux bittes arrières.

À ce point, on peut naviguer en marche arrière vers le ponton jusqu’à le cordage de l’arc entre dans les crochets du flotteur ( de façon automatique grâce au mouvement du bateau). Une fois le bateau est accroché, la mise en marche du bateau permettra la connexion avec les crochets du flotteur.

De cette façon, le bateau restera accroché au ponton. Maintenant, on peut prendre la ligne du corps mort et fixer le cordage; cette opération est facilitée par le système MYOR qui tend à éloigner le bateau du ponton, en permettant de lier le cordage sans effort.

Une fois dans le cockpit, la marche avant ne sert plus et on peut fixer les deux cordages à l’arrière. On peut enlever le cordage de l’arc et le ranger dans le coqueron. Là, il ne sera pas plus encombrant qu’une gaffe.

La procédure de désamarrage est identique mais à l’envers. On doit donc accrocher le flotteur, mettre en marche le bateau, enlever les cordages et le corps mort. Enfin, à l’aide d’une gaffe, on enlève les crochets du flotteur et on peut prendre la mer.

Si le poste de pilotage est assez loin de la poupe, on peut détacher le Myor à l’aide d’un petit cordage que le barreur peut actionner tout seul.

Pour le désamarrage, l’installation de l’arc n’est pas toujours nécessaire. Sa fonction peut être remplie par deux triangles, fournis pas défaut, qui connectent le crochet du flotteur au cordage du MYOR à fixer sur la bitte à l’arrière. Pour prendre la mer, il suffit de mettre en tension la ligne de déclenchement.

La procédure pour les autres types d’amarrage est assez similaire. Pour s’amarrer par la proue, il suffit d’installer l’arc à l’avant. Pour un amarrage sur bouée, au contraire, le constructeur offre un modèle spécifique de Myor, pensé pour ce type d’amarrage.

En plus, avec Myor, les temps d’amarrage et de désammarage sont considérablement réduits parce qu’on peut amarrer facilement sans aucune assistance. Il n’est pas rare, en effet, de devoir attendre longtemps son propre tour au ponton, surtout en pleine saison.

Tant les plus inexpérimentés que les skippers professionnels peuvent tirer parti du système Myor. Dans le premier cas, les niveaux de stress, dus aux déplacements soudains sur le pont, seront considérablement réduits. Les skippers, au contraire, pouront profiter d’un amarrage plus facile, ce qui représente une aide toujours précieuse, surtout après des navigations longues et difficiles.

Myor est si convaincue de l’efficacité de son système que, outre un prix très intéressant, elle offre aux premiers dix acheteurs potentiels la possibilité d’essayer le produit gratuitement. Vous pouvez réserver votre essai en utilisant ce lien.

 » Voir pour croire », comme on le dit.

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