Ocean to Ocean RIB Adventure, le capitaine Sergio Davì s’est lancé dans une aventure extrême qui le mènera jusqu’à Los Angeles. Ce sera un voyage époustouflant au cours duquel le capitaine traversera la Méditerranée et deux océans différents.
Il s’agira d’une croisière extraordinaire au cours de laquelle le capitaine de Palerme tentera de battre son propre record, qui l’a vu rejoindre New York au milieu d’icebergs et d’une mer très froide en 2019.
Teo Aiello, responsable de Nuova Jolly Marine, a renouvelé ses meilleurs vœux pour le départ du capitaine Davì, commentant aux micros de notre rédaction la nouvelle aventure du capitaine comme » rien moins qu’extraordinaire « .
Avec ses 11 mètres de long, le bateau de Nuova Jolly Marine sera équipé pour une navigation incroyable. Quant aux moteurs choisis par le capitaine, le Nuova Jolly’s Prince aura des moteurs Suzuki DF300B à double hélice bien en vue à l’arrière.
Les tubulaires du Prince 38 CC sont également conçus pour accueillir des réservoirs supplémentaires, qui seront remplis avant les traversées océaniques.
Ce n’est pas une coïncidence si l’une des plus grandes craintes de Davì est de perdre littéralement des quantités de carburant pendant la croisière dans une mer agitée.
La Ocean to Ocean RIB Adventure devait commencer le 21 novembre,
Du côté de l’Amérique du Sud, la première escale est la Guyane française, puis les Caraïbes, la Colombie et le Panama. Depuis la Manche, les miles nautiques sur le Pacifique commencent vers la Californie, puis la tant attendue Los Angeles.
Cette entreprise extraordinaire est soutenue par d’importants partenariats scientifiques avec deux universités italiennes. Capitaine Davì participera également à de nombreux relevés hydrographiques afin d’évaluer l’impact anthropique et l’état de l’écosystème marin.
Pour réaliser son exploit, Davì a choisi le Prince 38 CC, un maxi RIB – nous le répétons – vraiment extraordinaire. Il s’agit d’une center-consolle et d’un walk-around capable de s’attaquer aux grosses vagues hirsutes et dominatrices. Il ne craint pas le vent du nord, mais il nécessite tout de même un skipper expérimenté à la barre. Davì, que nous avons interviewé récemment, n’a fait preuve ni de bravade ni de témérité, mais plutôt d’une peur saine et modérée, bien conscient que son exploit n’est pas à la portée de tous. L’homme seul contre la mer. Car se dépasser et le faire à bord d’un bateau pneumatique n’est pas donné à tout le monde.
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